Après la déception de ne pas pouvoir monter un embrayage hydraulique, je remets la rampe de carbus correctement, serrée avec ses colliers, car je vais maintenant essayer de faire démarrer ce moteur.
Le faisceau est remonté, mais pas encore gainé, attaché, mis en place, car je veux avoir accès aux différentes branchez pour pouvoir facilement le tester en cas de problème. Même s'il est quasiment sur que les non démarrages du moteur en fin d'année dernière étaient dus à l'encrassement des carbus par la vieille essence et non pas à un problème électrique.
Donc je ne remets pas non plus le réservoir sur la moto, mais à côté, toujours pour avoir un bon accès à tout.
Et ça démarre ! Bon, je vous passe les balbutiements, mais enfin le moteur tourne !
Il faut bien sur encore travailler, surtout sur ce ralenti capricieux.
Après ça, je vidange immédiatement les cuves de carbu, histoire de ne pas faire la même erreur qu'après le premier démarrage en 2020 sur le banc, et y laisser de l'essence stagnante et le risque que des impuretés se déposent et bouchent de nouveau les carbus.
Je construis une gouttière dans un vieux tube en PVC...
... que je place sous les carbus, avec une pente suffisante...
... pour qu'une fois les vis de vidange des cuves ouvertes, l'essence coule à l'extérieur du cadre et puisse être récupéré dans un bidon.
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